To leave this site quickly, click the Quick Exit button below. Learn more about Quick Exit button here. If you don’t want your browser history saved, please open incognito browsing mode. Learn more about incognito mode here.  In an emergency, call 000.

Planification de la sécurité: check-list

Cette liste est un guide des éléments à mettre en place en termes de sécurité.

Si vous craignez pour vous-même, pour un membre de votre famille ou pour un client, demandez de l'aide à la police au 000.

Pour passer des appels d'urgence à l'aide du service TTY ou du National Relay Service (pour personnes sourdes ou malentendantes), voir Calls to emergency services

Sécurité à la maison

Une communauté de prise en charge

  • Réagir est l'affaire de tous. Laissez des voisins en qui vous avez confiance appeler la police au 000 s'ils entendent du bruit, des cris ou de la bagarre. Certaines personnes qui vivent en appartement ont des codes sonores pour signaler à leurs voisins qu'ils ont besoin d'aide.

  • Ayez un endroit où aller si vous devez vous enfuir. Dans votre portefeuille ou votre répertoire téléphonique, gardez les numéros de téléphone de votre famille et de vos amis.

  • Ayez votre propre téléphone mobile et abonnement (de préférence prépayé) afin de pouvoir rester en contact avec les gens. Les appels ne pourront pas être vérifiés avec une facture ou un journal d'appels.

  • Préparez un plan de fuite pour le moment où vous sentirez que les choses vous échappent.

Préparer un plan de fuite

  • Préparez et entrainez-vous à emprunter des voies de sortie d'urgence depuis toutes les pièces de votre maison ou de votre appartement.

  • Gardez un petit sac d'urgence quelque part avec un trousseau de clefs, les papiers importants, les jouets des enfants et un peu d'argent liquide au cas où vous devriez vous enfuir précipitamment. Si vous avez besoin de médicaments sur ordonnance, conservez une copie de l'ordonnance dans votre sac d'urgence.

  • Confiez des doubles de vos clefs, des papiers importants, des photocopies des cartes bancaires, etc. à un membre de votre famille, à un ami ou à quelqu'un en qui vous avez confiance.

  • Si vous avez des problèmes de mobilité ou que vous souffrez d'un handicap, arrangez-vous à l'avance pour qu'un ami puisse venir vous chercher immédiatement si vous l'appelez ou si vous lui envoyez un SMS. Certaines personnes se servent d'un mot de code, choisi à l'avance. De cette manière, vous pouvez appeler même si votre agresseur peut vous entendre.  

  • Si ce n'est pas dangereux, tenez un journal des incidents effrayants ou violents. Cela vous aidera si vous devez demander une ordonnance de protection.

Recueillir les numéros utiles

Pensez à rassembler quelques adresses et numéros utiles comme:

  • les taxis locaux (taxis adaptés, si vous en avez besoin):
  • le service d'assistance téléphonique de crise de votre état ou de votre territoire;
  • le centre de gestion de crise le plus proche;
  • l'adresse du poste de police le plus proche;
  • souvenez-vous que vous pouvez toujours appeler 1800RESPECT au 1800 737 732.

Sécurité après une séparation

  • Si vous vous avez quitté votre conjoint, placez des lampes extérieures, des verrous supplémentaires aux portes et aux fenêtres, ou au portail si vous le pouvez. La police effectuera souvent une vérification « de sécurité » pour vous et vous conseillera sur la manière d'améliorer la sécurité dans votre maison ou votre appartement. Certains services de gestion des violences domestiques ou familiales ou certains services de police disposent de fonds destinés à couvrir une partie de ces frais.

  • Changez de numéro de téléphone mobile et réglez-le sur «privé». Utilisez une carte SIM différente si vous devez communiquer au sujet des enfants.

  • Demandez aux agences gouvernementales, aux entreprises de services collectifs, aux cabinets d'avocats, médecins, écoles etc. de respecter la confidentialité de vos informations personnelles.

  • Prenez une boîte postale pour le courrier important ou conservez la confidentialité de votre adresse personnelle.

  • Adressez-vous à un service de lutte contre la violence domestique et conjugale, à un avocat communautaire ou à la police pour savoir comment obtenir une ordonnance de protection si vous n'en possédez pas déjà une. Cette ordonnance peut alerter la police de certains des dangers à l'avance.  Elle peut également être éditée pour interdire à l'auteur des violences de venir sur votre lieu de travail.

Sécurité en public ou au travail

  • Garez votre voiture dans un endroit public fréquenté. Évitez les parkings souterrains, ou si vous devez les utiliser, demandez à quelqu'un de vous accompagner jusqu'à votre voiture.

  • Si vous voyez votre conjoint ou ex-conjoint, rendez-vous dans un endroit public ou fréquenté le plus rapidement possible.

  • Si vous avez quitté votre conjoint, demandez à votre patron si vos appels et vos visiteurs peuvent être filtrés à l'accueil. Si vous travaillez dans un espace public, comme un centre commercial, adressez-vous au personnel de sécurité et montrez-leur une photo de votre ex.

  • Si vous avez quitté votre conjoint, essayez de modifier régulièrement vos habitudes. Lorsque que cela est possible, prenez des trains et des tramways différents, quittez le travail ou la maison à des heures différentes, faites vos courses à des endroits différents ou en ligne.

  • Informez votre patron ou le personnel de sécurité de toute ordonnance de protection interdisant à l'agresseur d'approcher votre lieu de travail. Conservez une copie de l'ordonnance au travail ou dans votre sac.

Sécurité sur Internet

  • Utilisez un ordinateur public (bibliothèque, centre communautaire) ou l'ordinateur d'un ami auquel votre agresseur n'a pas accès.

  • Modifier ou supprimez votre compte Facebook et ceux de vos enfants, ou révisez les paramètres de confidentialité pour en restreindre l'accès. Les gens peuvent accidentellement laisser échapper des informations concernant l'endroit où vous vivez ou où vous vous trouverez.

  • Changez d'adresse email. Rendez-la difficile à retrouver - ne vous servez pas de votre nom ni de votre date de naissance dans le nom du compte.

  • Demandez à un informaticien de vérifier qu'il n'y a pas de logiciel espion ou de programme d'enregistrement de frappe sur votre ordinateur.

Aider les enfants

  • Aidez vos enfants à reconnaître les signes précurseurs de danger.

  • Gardez un discours pratique, comme pour toute autre conversation que vous pourriez avoir concernant la préparation à une catastrophe naturelle, aux incendies, etcetera.

  • Testez les voies de sortie d'urgence - parlez-en en même temps que vous parlez des exercices relatifs aux incendies ou aux ouragans.

  • Apprenez à vos enfants qu'il ne relève pas de leur responsabilité d'arrêter l'agresseur lorsqu'il est en colère ou violent.

  • Apprenez à vos enfants la liste des personnes à contacter ou les lieux où se rendre en cas d'urgence. Cela inclut d'appeler le 000 et de demander la police, et de donner leur adresse.

  • Informez les écoles et les garderies de la situation de violence, ainsi que les parents d'élèves à qui vous pouvez faire confiance. Ils peuvent rester vigilants aux signes d'aggravation ainsi que vous aider à vous occuper des besoins affectifs de vos enfants. Une communauté de prise en charge aide à assurer la sécurité des enfants. Donnez une copie de votre ordonnance de protection et une photo de l'auteur des violences à l'école ou à la garderie afin que le personnel sache à quoi s'attendre.

En cas de danger immédiat, demandez l'aide de la police au 000.

Pour passer des appels d'urgence à l'aide du service TTY ou du National Relay Service (pour personnes sourdes ou malentendantes), voir Calls to emergency services

 

Consultation téléphonique 

Consultation téléphonique

 

Developed with: Domestic Violence Resource Centre Victoria